Le réveil sonne, rapidement, tu te redresses dans un sursaut. Voilà plus d'une semaine que tu travailles et donc, cela signifie que le réveil matinal et brutal est au rendez-vous. Tu rêves d'une matinée où tu ne te réveilles pas, une journée où tu resterais au lit sans te préoccuper des clients, de leurs attentes et des bonnes commandes. Seulement, comme un con, tu t'es prit au défi de travailler cet été et donc, de ne pas jouer le glandeur. Tu dois prendre tes responsabilités et tu ramènes, en même temps, de l'argent gagner par toi et non par l'entreprise familiale ou encore, par ton défunt père, lors de son vivant. En une semaine et demi, tu souffres déjà, tu plains ces personnes qui font cela toute l'année. T'es pas faible, c'est juste que toi, tu as trop été servi, au lieu de servir. Les mauvaises habitudes font que tu ne t'es pas encore habitué à ce schéma de vie, tellement que tu penses déjà à la rentrée. L'université et ses cours te manquent. Tu es loin d'être le rat des bibliothèques ou le garçon fan de l'université, mais tu préfères être là-bas qu'à servir des gens aussi désagréables, les un que les autres. Certains sont agréables, d'autres sont vraiment très chiants, très irrespectueux et tu n'as qu'une envie, attraper un couteau et arracher leur corde vocale grâce à celui-ci. Ses pensées t'ont réellement traversés l'esprit, c'est pour dire à quel point tu peux ne pas les supporter. Tu sors donc de ton pieu, tu files à la douche et tu enfiles les vêtements de travail. Ouais, t'as un t-shirt spécial avec le petit signe Starbucks, chanceux que tu es. Une fois ton contrat terminé, tu te jures de le brûler et surtout, de le regarder finir en cendre. Saloperie. Tu verras toute la souffrance endurée dans ce t-shirt s'envoler sous les flammes. C'est un bon plan, d'après tes collègues d'un été. Tu prends ta voiture et roules jusqu'à ton fameux lieu de travail. Tu te gares, rentres dans l'établissement et va à l'arrière-boutique. Tu enlèves ton blouson, te voilà prêt, tu rejoins les autres au comptoir. Tu es le dernier arrivé, eux ont l'habitude d'être à l'heure contrairement à toi. Et c'est de retour la même chose. Les clients fidèles et gentils, les autres pressés et insolant et encore, les long à la détente. Tu as attribué une étiquette à chaque type de personnes, tu t'ennuyais et ta seule occupation était celle-ci. Donner des étiquettes aux gens. Fabuleux, très distrayant, ouais. Ce n'est qu'après quinze minutes que tu relevais le regard, reconnaissant la voix de la fille. Imogen. Tu comprends rapidement qu'elle n'est pas seule, tu regardes le garçon, l'oeil mauvais. De bas en haut avant de reposer ton regard sur Imogen lorsqu'elle te demande un cappuccino et peu importe tes envies, tu dois tout d'abord travailler et respecter les clients, peu importe les différents. Chaton. Saloperie, tu comprends alors qu'elle a relevé le défi lancé plutôt dans la semaine. Tu le lui as lancé en pensant qu'elle ne trouverait personne, mais là, tu tombais de haut. Elle prend sa main, tu fronces les sourcils, t'as compris, tu n'as pas besoin d'une démonstration. Tu attends la réponse du garçon, sans l'observer. Rien que ses airs t'énervent et tu ne sais même pas pourquoi. Tu prends un air de dégoût lorsque tu assistes à... ça. Horrible, tes yeux brûlent. Tu tournes le regard, en colère. Imogen, elle te surprend, mais te dégoûte, à ce moment. Une fois leur spectacle terminé, tu roules des yeux avant de lancer un regard rempli de haine au garçon. Lui, c'est décidé, tu ne l'aimes pas. Petite chose qui se laisse utiliser par Imogen, ce que c'est triste. « - J'te fais ça. » Tu hoches de la tête, sourire envolé. « - Par contre, vos échanges buccaux, c'est pour dehors. C'est pas un endroit pour ça, ici. » Tu souris hypocritement avant de faire ces deux cappuccino. Parfaitement. Tu sucres bien celui d'Imogen, comme demandé et tu as presque de mauvaises idées en le préparant. En réalité, tu en as. Sauf que tu ne veux pas te faire renvoyer, alors, tu restes calme. Tu ramènes les deux commandes à Imogen, sans sourire, sans aucun mot de gentillesse. « - Imogen.. » Tu l'observes, plantes tes prunelles dans les siennes avant de déglutir. « - Ne t'avises plus de fourrer ta langue dans la bouche d'ça devant moi. C'est dégueulasse. » Ton sourire a disparu, t'es plus d'humeur à rire.  

Braxton, dans cette histoire, tu es le fautif. Tu n'aurais pas du lui lancer ce défi, tu aurais du penser au fait qu'elle ne se laisserait pas perdre, qu'elle trouvait un garçon et qu'elle te ferait regretter ce défi. Tu as voulu jouer, et maintenant, tu peux sentir le goût de la défaite. Tu es perdant, tu prends conscience de cela en la voyant avec ce garçon tout près d'elle. Des envies de meurtres, tu en as souvent depuis que tu bosses ici, mais là, l'envie se fait vivement sentir. Tu n'aimes pas qu'on touche à Imogen, tu n'es pas un garçon possessif et tu devrais l'être encore moins avec Imogen, mais tu fais tout le contraire de ce que tu devrais. Cette fille a beau t'agacer, tu n'aimes pas qu'on y touche. Imogen, c'est celle que personne ne doit toucher, en réalité. Tu n'es pas ce genre de garçon à la réplique connue du : « Si je ne l'ai pas, personne ne l'aura.» C'est encore différent. Tout est toujours différent et cela te déstabilise. Imogen, tu es censé ne pas pouvoir la blairer et là, tu refuses qu'on y touche. Braxton, la logique et toi, vous n'avez jamais fait ami-ami, mais là, c'est encore pire. Tu as enterré la logique. Elle te parle de Margot, tu roules des yeux. Elle sait que cela n'est pas vrai, votre histoire n'est pas réelle et Imogen doit avoir prit conscience de ce fait, tout comme les autres. L'université entière sait pour ton faux couple, alors pourquoi pas elle ? Elle est au courant, tu le sais très bien. « Tu n'as pas à comparer ma situation à la tienne. » Tu lui souris hypocritement, comme à ton habitude. Tu l'admets, cela te dérange personnellement puisque personne d'autre n'a trouvé à se plaindre. Tu as causé cela et maintenant, tu en payes les conséquences. Merde, pourquoi ne pas y avoir réfléchis plus tôt ? Tu as pensé qu'elle ne te ramènerait aucun garçon et pourtant, elle a relevé le défi. « Tu sais quoi ? Je m'en branle. Totalement, même. » Tu mens, l'air que tu as sur la figure et ce que tu dis ne s'accorde absolument pas. Un jour peut-être seras-tu crédible, tu l'espères, parce que en attendant, tu passes pour un con. Tu te fais toujours passé pour un con, mais là, bizarrement, tu aimerais te faire voir comme un garçon intelligent et qui n'a pas qu'un tour dans sa poche. Seulement, tu montres tout le contraire et c'est la réalité, ce qu'ils peuvent voir. Tu n'avais qu'un tour dans ta poche et maintenant, t'es perdu et tu ne sais pas quoi faire. C'est lorsqu'elle repose ses lèvres sur celle du garçon que tu sens tes mains te faire mal tellement tu les serres et ta mâchoire, n'en parlons pas. Tu es en colère et on le lit très facilement sur ton visage. Tu soupires, elle se montre en spectacle et tu n'apprécies pas cela. Tu sais ne pas faire pareil devant les caméras, là, c'est limite s'ils s'étranglaient. Dégueulasse, oui, c'était bien le mot. Tu les regardais mal, avant de sourire faussement à Imogen. « Quoi d'autre, à ton avis ? » Ces images allaient rester gravées à tout jamais dans ton cerveau, pour ton plus grand malheur. Elle te cherchait et elle allait te trouver. On te trouvait toujours. Tu ne savais pas quoi faire à l'instant même, mais tu allais mette ton cerveau en marche et trouver quelque chose. Une vengeance. « Il n'y a aucune situation à reprendre en main, d'après moi. » Tu as le ton froid, le regard noir et l'envie de tout casser. Tu regrettes, le goût de la défaite ne te convient absolument pas. Tu reprends ton service, sans les quitter des yeux. Tes collègues ne comprennent rien, tu n'expliques pas la situation. Tu préfères rester professionnel. Tu ne vas pas lui donner ce plaisir, à Imogen. Tu restes plus fort et tu commences à les nier. Tu fais comme s'ils n'étaient plus là, c'était beaucoup mieux ainsi. Tu servais les clients avant de croiser le regard de la blonde, tu secoues la tête de droite à gauche en montrant bien le dégoût qui t'habites. Tu ne savais pas quoi faire, réellement, tu étais perdu. « Je prends ma pause. » Pour faire quoi ? Tu n'en savais rien. La pause se faisait à midi et non vingt-minutes après avoir commencer ton service. Tu t'en foutais royalement, tu sais qu'ils ne trouveraient pas à te virer. Ils étaient encore gentils avec toi et après toutes les erreurs commises, tu n'aurais même pas eu de deuxième jour, normalement. Tu avais déjà chercher à te faire virer et le patron avait compris que ce n'était pas la situation puisque tu en rêvais. Il te gardait, faisait comme si de rien était et là était le hic. Tu te ferais renvoyer dix minutes après la fin de ton contrat, rien que pour son plaisir à lui et aussi, pour le tien. C'était un connard, et en tant que connard, tu connaissais déjà ses plans. Tu partis à l'arrière, tu te débarrassais et enfila ton blouson, soufflant un bon coup et attrapant ton portable. « Je t'attends dehors. Tu vois, je reprends la situation en mais alors s'il te plaît, ne m'fait pas passer encore plus pour un con, surtout pas aujourd'hui.» Tu n'as pas été malin pour le coup et tu sais que tu as merdé pour cette fois. Tu sors dehors après avoir jeter un rapide coup d'oeil à la blonde. Tu espères de tout ton être qu'elle te rejoigne, même si tu n'as encore aucune idée de ce que tu comptes lui dire ou faire. T'es perdu, Braxton. Elle t'fait perdre tes idées, tes pensées,  et tu doutes, comme à ton habitude.  

Tu n'as aucune réponse à ton message, tu n'en attendais pas forcément une, mais cela t'aurais aider à savoir si elle te rejoignait ou si justement, elle te laissait en plan. Tu avais toutes les raisons de penser qu'elle ne se ramènerait pas : Elle était accompagné de son copain et n'allait peut-être pas le laisser glander seul là-dedans, deuxièmement, elle n'avait aucune raison de te rejoindre : Envers elle, tu n'étais qu'un con, tu comprendrais si elle déclinait ton invitation. De plus, peut-être t'avait-elle souffler ces mots juste pour voir ta réaction et te laisser en plan par simple vengeance. Histoire de gagner une partie de plus et de voir l'air perdant que tu as quand tu te retrouves perdant. Ce ne sont que des défis et tu en es bien conscient, mais ces simples sont devenus plus que, justement, de simples défis pour toi. C'est un jeu, un énorme jeu et tu ne sais pas où la case départ se trouve. Tu n'as pas envie de la trouver, cette case. Ce serait tout arrêter et tu ne veux pas que le jeu prenne fin. Des années qu'il dure, tu veux que cela continue. Imogen a beau t'énerver en gagnant, que tu te retrouves perdant, tu t'en balances. Tant qu'il y a le jeu, tu es gagnant. Tu ne te plains donc pas, tu acceptes la défaite et tout recommence. C'est simple, qu'ils disent. Tu sais que ça ne l'est pas, du moins, que ça ne l'est plus et d'après toi, tu n'es pas le seul à l'avoir ressenti. Elle comprend certainement que les choses changent et que ce n'est plus aussi simple. Ça l'était auparavant, mais désormais, tout se complique. Les choses changent, tout finit toujours pas changer. Tu t'adosses à un mur, les bras croisés et tu attends. Tu n'espères pas forcément la voir arriver, mais tu préférerais que ce soit le cas. Sa voix, tu souris rapidement avant de te redresser. Tu l'écoutes, tu encaisses. Tu es habitué, cela ne te blesse pas. Jamais. Tu t'es déjà laissé blesser par des mots quand t'étais plus jeune, t'es plus comme ça et maintenant, les mots sont tout simplement des mots. «  Je gère rien, c'était juste pour que tu viennes. » Tu es franc et cela te trahit de temps en temps. Tu ne réfléchis pas à tes mots, tu les balances comme si de rien était et parfois, tu oublies le peu de dignité que tu as encore. Certes, tu te rabaisses, mais au moins, on ne t'en voudra pas pour avoir été trop vague ou encore pas franc du tout. «  Personnellement, je ne sais pas si c'est de la surprise ou de la déception que j'ai ressenti, y'a pas plus de vingt-minutes. » Tu la déçois, mais elle aussi. Tu as ce don de décevoir les autres, cela ne te surprend même plus. Elle te demande à quoi cela rime, tu roules des yeux. Elle ne réfléchit pas. Comment toi, Braxton, tu peux savoir un truc du genre ? Comment ne peut-elle pas être au courant que tu es aussi largué qu'elle ? Tu souffles, poses ton regard ailleurs. Tu ne sais pas si tu lui en veux ou si tu t'en veux, en réalité. Tu ne la regardes pas, tu la nies du regard et tu n'as aucune idée de pourquoi tu fais cela. Tu rigoles, sans joie. Tu sais ce que tu es et elle n'a pas tort. Oui, tu acceptes le fait d'être un idiot et un crétin ou encore même un égoïste. Peu importe comment elle te voit, tu t'en casses royalement. Tu es beaucoup de choses, d'après les gens. Tes prunelles croisent les siennes et là, tu bloques. Tu défies son regard noir, pour le coup, tu es réellement un idiot fini. «  Et toi, peut-être ? Sortir avec un garçon pour un simple pari donné par un putain d'idiot, comme tu dis. T'es aussi une idiote, pour le coup. » Tu serres la mâchoire, tu te refuses d'entre cela de sa part. «  Tu aurais pu choisir la simplicité de ton gars et pourtant, tu es là. Tu ne me convaincs pas, t'es pas crédible.» 

Tu roules des yeux lorsqu'elle te précise qu'elle est là : Tu l'avais remarqué, tu n'aurais pu la louper. Elle parle fort, sans s'arrêter. En bref, quoi que tu veuilles, sa précision ne sert à rien. Tu n'es pas sourd et encore moins aveugle. Tu souris hypocritement, avant de hocher de la tête. « Merci Sherlock, j'avais pas remarqué.» Tu pourrais être plus gentil avec elle, réfléchir à ce que tu dis, mais tu ne le fais pas, loin de là. Tu ne balances que des mots et ne te rends pas compte du fait que tu peux être blessant ou encore complètement con. Les gens ont l'habitude et ne doivent plus s'attendre à quelque chose d'attendu. Tu sors ce qui vient et tu te fous de ce que cela peut engendrer. Du bien, du mal, finalement, ça arrive à tout le monde et ce n'est pas ta faute. Ils veulent une vérité, tu es franc (Tu n'as pas d'autre choix que de l'être) et dès qu'ils l'ont, ils se voient offensés par des foutus mots qui résument que trop bien la situation. Tu ne les comprends pas, tu n'as jamais chercher à comprendre, pour dire vrai. Qu'ils soit donc touchés par des mots, tu ne diras rien, tu continueras seulement de penser que c'est bien bas et débile. Et la voilà qui remet tes mots en question, tu soupires. Imogen ne doit pas se rabaisser à tes mots, elle devrait le savoir. Tu peux être aussi blessant qu'inconscient. Tu te rends aussi compte qu'Imogen, elle n'a rien compris. Elle ne voit pas les choses comme toi tu les vois. Vous êtes à l'opposé l'un de l'autre. Elle n'est ni une fille facile, ni une ratée à tes yeux. Tu n'en diras rien, tu n'es pas d'humeur à lui avouer qu'elle est loin du compte. Qu'elle continue de croire ces conneries, ce n'est pas ta faute. Elle se perd dans des idées qu'elle s'est elle-même faite et que tu n'as pu modifier. De toute manière, tu lui diras le contraire et elle te répondra que tu fais cela pour l'embobiner car tu n'es qu'un connard. Tu sais comment tout cela se passe et loin de là l'envie de t'aventurer là-dedans. Tu t'attires ses foudres simplement parce qu'en parlant, tu compliqueras encore plus la situation. Imogen n'a rien compris, c'est tout ce que tu as comme conclusion. « Tu te concentres sur des idées que tu as toi-même créées, Imogen. Tu crois que c'est ainsi que je te vois ? Je n'ai jamais rien dit de tel, arrête de dire des conneries.» Tu sens qu'Imogen est en colère et cela te fait grimacer. Tu ne voulais pas l'énerver, tu as juste fait comme elle a dit : Tu as tout laissé tomber pour lui parler. Sauf que tu ne savais pas qu'en faisant cela, tu attiserais sa colère. Tu n'es pas doué pour parler, tu aurais du t'en douter. Les choses ne vont jamais dans le bons sens et tu en as encore la preuve aujourd'hui, avec elle. Elle s'approche, ses mots deviennent aussi tranchants que les tiens et tu as du mal à le digérer. Tu relèves le regard, refusant de croiser le sien. La mâchoire serrée, tu accueilles ses mots et tu te rends compte de ce qu'elle dit réellement. Tu l'entends crier et tu n'as aucune idée de comment calmer les choses. Tu n'as pas envie de cris et de mots envoyés en l'air. Sauf qu'elle est sincère et c'est certainement la seule chose qui te fait réellement mal au moment même. Car oui, tu as mal à ton tour. « Passer une bonne journée à nous deux ? Les choses changent, Imogen, mais les miracles n'existent pas. On est fait pour se détester, continuons sur ce chemin.» Tu fermes les yeux lorsqu'elle te dit de la regarder, tu souffles avant de poser tes prunelles dans les siennes. Tu te forces à ne pas tourner les yeux, tu ne peux pas faire cela. Tu te rends compte à quel point elle est proche et en colère, tu réalises l'ampleur de sa colère et de la situation. Elle te crache encore quelques mots tranchants avant de tourner les talons, tu hausses les sourcils en riant, sans joie. « Tu comptes ta la jouer lâche ? Me balancer toutes ces conneries et te casser avec ton prince charmant que tu dois certainement connaître à peine. Tu ne l'aimes même pas. Tu lui donnes quoi en échange ? De l'argent ? Toi ? Hein? Allez, dis-moi quel mal tu te donnes pour tenter de mettre à terre à ce foutu jeu, je veux l'entendre.» Tu as eu le même de la faire s'arrêter un instant ainsi que de la rattraper. Tu lui souris, tu ne peux pas te montrer faible. On ne te fait pas de mal sans en avoir en retour. Tu ne penses plus en bien, tout ça parce qu'on t'a fait du mal. T'es pitoyable et sans pitié. « Qu'est-ce que tu attendais, sérieusement ? Tu croyais réellement que j'allais être à tes ordres après que tu m'aies amenés ce garçon et provoqués avec ? Je ne me laisse pas marcher dessus et humilié, tu devrais le savoir. La prochaine fois, réfléchis à ta tactique d'approche si tu veux ''Passer une bonne journée" avec le putain d'idiot que je suis, comme tu le dis si bien. » T'es blessé et ça ne se présente jamais bien quand tu l'es. Jamais.