i want to tell i miss you on a rock and throw it at your face, so you know how much it hurts to miss you
Tu souriais. Vos lèvres l'une contre l'autre, dansant la valse. Ses mains sur ton corps, fraîche, de quoi fournir des milliers de frissons à ton échine. Elle retire délicatement ton haut, rompant ainsi votre baiser. Quel coquine. Qui lui avait dit que tu avais chaud. Ses mains caressant ton torse, s'engageant dans un parcourt incertain, fixant de son regard profond ton corps. Tu ris légèrement lorsqu'elle confessa qu'elle avait chaud. Tu t'en doutais un peu. Le problème c'est qu'elle avait enlevé le mauvais tee-shirt. Sourire en coin, tu succombas lorsqu'elle se mordilla les lèvres. Geste auquel tu ne pouvais pas résister. Montrant ses dents et mettant à la fois sa lèvre en valeur, c'était un moyen de te donnait envie de l'embrasser sans t'arrêter. Mais heureusement, l'envie était réciproque puisqu'elle s'empara la première de cette chair rosé de ton visage. Tes bras autour de son corps élancé, tu la voulais, tu la désirais. Démasqué par la bosse de ton bas-ventre, que tu aurais souhaité qu'elle se fasse plus discrète. Mais c'était comme ça. Izia savait procurait en toi un désir fou et parfois incontrôlable. Souvent, en fait. Ton palpitant battant la chamade. Elle te rendait fou avec ses baisers, sa langue qu'elle baladait comme elle le voulait, te rendant vulnérable. Tu pouvais bien te l'autoriser ; succomber à ses gestes intimes. Le regard pénétrant son esprit impétueux, fixant chaque détails de son visage parfait, de sa silhouette bien dessinée. Et les mots qui s'échappent de ses cordes vocales, émanent en toi une sensation de joie. C'est vrai, qu'attendais-tu. Elle t'avait dit qu'elle avait chaud. Mais tu ne savais pas pris, dans cette enchaînement intime, tu t'étais perdu, oubliant le plus important. Tu attrapes doucement le bas de son tee-shirt avant de le retirer et de le jeter brusquement. Tu t'arrêtes un instant, admirant cette poitrine que tu aimes tant. Petite et mignonne. Tu avais de la chance, elle n'avait pas remis de soutien-gorge ce matin, ce qui te permettait de contempler plus longtemps ces merveilleuses petites choses avant d'amener ta main à les caresser. Doucement mais sûrement, tu commençais à t'amuser avec ces monts, ton visage s'approchant du sien. Tu retrouves à nouveau ses lèvres, des baisers effrénés s'enchaînent et lentement, tu la tires vers toi,jusqu'à ce qu'elle se retrouve allongée sur son lit. Tes lèvres glissent jusqu'à son cou, tes mains s'aventurent plus bas. Et dans un enchaînement harmonieux, tu laisses glisser son short le long de sa peau, laissant son corps nu presque à découvert devant toi. « Tu es tellement belle, Izia. » Tu ne contrôles plus rien, seul le feu ardent brûlant de désir guide tes mains, tes lèvres, ton regard. Tu étais un homme heureux.