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 bermude. (loukas)

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Reese Kingsley Rhodes


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MessageSujet: bermude. (loukas)   bermude. (loukas) I_icon_minitimeDim 24 Juil - 22:57


( tu me trouveras toujours dans ton sillage
dans les lignes droites et les virages.  )

@Loukas S. Cohen

Elle est restée un instant sans vraiment savoir ce qu'elle était en train de faire. Le regard bloqué sur son propre reflet, à se demandait qui était en face d'elle, pourquoi cette fille et sa robe ridicule était en train de la fixer ? Qui est cette inconnue qui est entrée dans a chambre et qui l'a emballer dans du papier cadeau blanc et décorer ses cheveux d'autant de pince et de parfum ? Perdu dans ses penser, elle aimerait savoir comment elle a atterrie ici et maintenant, qu'est-ce qu'elle a encore foutue pour devoir jouée à ce jeu stupide ? Elle fût sorti de ses penser de la pire façon qui existait. La main moite et la voix roques paternelle, de son cher géniteur. Elle ne manquait de lui lâcher un regard assassin quand celui-ci se poser avec lourdeur sur son lit, les bras croisaient sur son torse. « T'as intérêt à bien te tenir. » elle ne répondait pas, elle ne répond jamais, le silence est sa plus grande arme contre son géniteur, si le ton monte c'est forcement parce que Zolan à pris partit et pour elle, il n'a pas son mot à dire. La brunette se contente de secoue positivement la tête, inventant son paternel à quitter les lieux. « Dépêche toi de descendre, il t'attend. » pour sa part elle n'était pas si presser que ça, si elle pouvait s'enrouler dans sa couette et laisser couler deux trois épisodes de n'importe quel série, cela aurait été la même chose.  

Ses pas frôle le sol marbre du salon des Rhodes, il était là, ce crétin de Loukas. Le parrain à sa droite, tout en noir comme à son habitude. De manière naturel, elle roule les yeux, comme si tu faisais exprès de tout laisser couler, pense t-elle en revoyant le visage de Zolan la réprimandait sur son comportement non-chalant. Elle ne le faisait pas exprès, elle s'en fichait réellement de tout ce qui pouvait l'entourer, elle ne déteste pas Loukas parce qu'il devait être son amant, elle le déteste parce qu'elle n'arrivait pas à supporter son visage de fouine, son odeur trop prononcée et son caractère de cochon, c'était un tout, elle ne l'aimait pas et cette situation n'allais pas en s'arrangeant. Elle finit par laisser toutes ses penser négatif dans une boîte, elle le fait souvent, comme pour enfermer les démons sarcastiques et négatif qui danse sans cesse dans son cerveau pour lui faire voir le monde en noir. Il ne fallait pas que ceux là soit de sortit ce soir, il fallait qu'elle joue la comédie, qu'elle arrive à se retenir d'être elle même.  

Sans attendre, elle se lance. À peine la porte du salon passer, elle affiche un sourire enjoué, passe ses doigts sur le visage de son amant et retiens une envie de lui cracher au visage, pour poser avec légèretés ses lèvres sur les siennes. « Bonsoir mon amour. » dit-elle d'une voix assez claire pour que tout le monde dans la salle puisse l'entendre, mais d'une manière assez douce pour qu'on est l'impression qu'elle ne le murmure qu'à lui. Son paternel est assez content de la scène, il passe une main réconfortante sur l'épaule de Loukas et un sourire à sa fille, sourire auquel elle ne répond pas, mais sert ses doigts qui sont descendue sur la nuque de son partenaire. « Bonne soirée papa. » ses doigts glissent le long des bras du jeune homme pour venir mettre sa main dans la sienne et elle le tire avec douceur jusqu'à la sorti du salon, dans le grand hall qui mène à la sorti ou une voiture les attendait, ce soir, ils allaient dîner pour la première fois en tête à tête, rien que Reese, Loukas et la vingtaine de paparazzies près à sortir leur article dès le lever du jour. « Beurk, t'as les mains moite. » lache t-elle une fois qu'ils se retrouvent le hall, sans personne autour d'eux. Ils devaient attendre la voiture à présent, elle s'autorisait à être elle même, le temps d'un instant.
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Loukas S. Cohen


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MessageSujet: Re: bermude. (loukas)   bermude. (loukas) I_icon_minitimeLun 25 Juil - 20:48


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Il était là, immobile, droit comme un i, en train d’épouster une de ses vestes à dix milles dollars. Toi tu trouvais ça presque comique, ce faux air qu’il se donnait, ce rôle qu’il jouait, qu’il essayait presque de faire fonctionner avec toi. Sans doute te pensait-il plus stupide que tu ne l’étais, sans doute doutait-il de ton réel lien de parenté avec Sirius, que tout le monde redoutait même si personne n’en parlait. Toi tu le fixais, du coin de l’oeil, arrangeant l’une de tes cravates dont t’avais horreur qu’on t’avait forcé à mettre. Cette image du bel hériter s’affichant aux yeux des journalistes, ça c’était tout sauf toi. Seulement tu devais comprendre : il fallait faire croire à ce couple, il fallait faire croire à cette parfaite famille Cohen, puissante mais très réglementée. Comme si tout ça était propre et lisse, comme si la famille ne cachait aucun trafic, comme si le FBI ne cherchait pas à vous coincer. Aux yeux du monde tu devais être l’un des célibataires les plus côté pour ta fortune, certainement pas un fils de bandit mondialisé. Mais ce qui t’emmerdait dans tout cela, ce qui te faisait serrer les dents et te donnait envie de mordre comme un fauve, c’était bien l’idée d’obéir à quelque chose que tu n’avais pas choisis. C’était de ne pas être libre de ce choix. Est-ce que le parrain se serait seulement lui même imposé une alliance dont il ne voudrait pas ? Non, il aurait trouvé un de ses fils, de ses frères pour faire le sale boulot : et tout le monde l’aurait écouté. Et l’autre problème sans doute, c’était la fille en question. Parce que sans doute que si ça avait pu être la première princesse pourrie gâtée d’un papa plein aux as, ça t’aurait suffis, tu lui aurais fait peur deux minutes pour qu’elle la ferme un peu et ça se serait calmé. Mais non, il fallait que ce soit Reese. Reese l’insupportable, que tu ne connaissais que trop bien mais que t’avais pas envie de connaître encore. Tu pris une inspiration alors que vous fixiez, toi et lui, l’escalier depuis quelques minutes - attendant qu’elle daigne enfin descendre. « Je sais que vous n’êtes pas le parrain. » Tu murmuras, bien qu’il n’y ait personne encore, mais pour être sûr que personne ne vous entendrait. Le type se refrogna d’un air vêxé, mais tu ne lui laissas pas le temps de répondre. « Il envoie ses chiens faire le sale boulot à sa place, du genre maîtriser le mec qui risque de le renverser plus tard. Il ne prendrait pas le risque d’exposer son visage. » Et tu prends une inspiration en fusillant du regard le type qui te fixe lui aussi, l’air outré. Tu as du mal à supporter l’idée d’être un pion, mais sans doute le faut-il être avant de pouvoir manier l’échiquier à ton tour.

Le type va pour te répondre mais il n’en a pas le temps, car vous apercevez enfin les longues jambes de la Kingley-Rhodes, qui descend l’escalier précédée de son père. Tu prends alors une inspiration, rangeant tes crocs pour adresser un mouvement de tête à ton ‘beau-père’, avant de relever les yeux vers ta nouvelle petite amie. Tu te retiens de serrer les dents, et tentes un petit sourire lorsqu’elle s’approche de toi pour t’embrasser, inspirant un peu en sentant ses lèvres contre les tiennes. « Bonsoir, chérie. » Tu fais lorsqu’elle te salut, avant de jeter un regard en coin à ton tuteur d’un soir qui surveilles la scène non sans fierté. Ce connard est sûrement ravi de te voir soumis de la sorte, mais évidement, tu ne dis rien. Il ne faut rien faire de stupide. Tu glisses une main autour de la taille de Reese en inspirant un peu, saluant ensuite les deux ‘pères’ en sortant de la pièce avec elle. Evidement, elle ne manque pas de lâcher une remarque. Tu roules les yeux. « Et toi tu empestes le parfum. » Tu ne manques pas de répliquer, sans doute que l’on avait passé la journée à la pouponner, mais t’étais pas très friand des étiquettes. La preuve, voilà ce qui se passait quand on s’y frottait trop. Mais t’étais jeune, t’avais encore beaucoup à apprendre. Tu pris une inspiration, tournant les yeux vers elle en te demandant si t’étais sensé lui parler. Tu serras les dents, pourquoi elle sérieusement ? « Les journalistes vont sérieusement croire à cette connerie ? » Tu murmurais pour toi même, ou peut-être un peu pour elle aussi, fixant la porte en attendant que la voiture n’arrive. De toute façon, fallait croire que oui.
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Reese Kingsley Rhodes


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MessageSujet: Re: bermude. (loukas)   bermude. (loukas) I_icon_minitimeMar 26 Juil - 13:29


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Elle avait sorti le dico des mots doux, des mots niais, des surnoms débiles, elle avait sorti les yeux de biche, le rire d'adolescente, le sourire béat, elle avait pris le kit de la petite amie insupportable et niaise et l'avait étalé sur le plan de travail pour en piocher dans tout ce qu'elle trouvait répugnant. Elle était fin prête à jouer le jeu, être celle qu'on lui demande d'être, juste une fois, remboursée ses dettes et ne plus jamais en reparler. C'était comme être attachée contre un arbre et devoir tout de même sourire à la caméra, accepté d'être le dominé une fois dans l'histoire. Elle ne supporte pas cela, elle avait le sang qui bouillonnait. Peut être à cause de ce truc qui lui serré les seins, enrouler comme un morceau de saucisse, dans sa robe débile. L'envie de l'arraché à grand coup et la jeté sur le sol, faisant valser ses talons hauts de l'autre côté de la salle. Mais un deal et un deal et t'as donner ta parole gamine, alors respecte ça.  

Un silence règne quand les portes du salon se referme, ne laissant comme bruit que ses grognements et la respiration trop prononcée de Loukas. Elle lâche sa main sans un geste assez brusque et masse la paume de sa main, dans une grimace. « Tu dis ça comme si j'avais choisi de porter du parfum ET du parfum à cheveux. » avant ce soir, elle ne connaissait même pas l'existence du parfum pour cheveux, elle lâche un soupire, la soirée vient à peine de commencer. Tout le monde est au courant, les gardes du corps, le chauffeur, tout le monde. Mais si un seul d'entre eux parle un peu trop, il serait éliminé. Elle repense à cette idée, depuis quand les hommes peuvent décider de qui peut vivre ou mourir ? Les murmures de Loukas dirige son regard sur lui, il était comme elle : déguiser dans un costume chic, coiffé comme s'il allait rencontrer la reine et tout aussi paniqué à l'idée de faire un faux mouvement. « Les journalistes croient ce qu'on leur dit de croire. » sa voix est direct et un peu sévère sur les rebords, elle s'en rend compte après. Elle n'a pas besoin d'être méchante avec lui, il n'avait rien demandé, il était comme elle : en contrat. Elle se racle alors la gorge et rajoute d'une voix qui se voudrait un peu plus mielleuse. « Joue le jeu, fait ce qu'ils te demandent et quand la parti sera finit sera fini retire toi avec douceur, sans faire de vague. Ne soit pas la tempête qu'ils ont l'habitude de voir. » va savoir si elle disait ça pour lui, ou pour elle.  

La voiture arrive et les gardes font salement leur travail. Elle passe la première et attend le geste galant de sa part avant d'agir. C'est ce genre de chose auquel elle doit réfléchir quand elle agit : toujours le laisser faire, agir comme si je n'avais pas de main pour ouvrir une putain de porte. Elle se glisse ensuite sur la banquette arrière de la voiture. Le restaurant est l'un des plus chic qui puisse existé à Sidney. Soigneusement choisit par la famille de Loukas, qui veille à ce que tout ce passe comme prévu. Elle reste silencieuse et relativement calme dans la voiture, l'esprit ailleurs. Avant d'arriver, elle repense une dernière fois à ce qu'elle doit faire et passe une main sur le bras de Loukas. « J'ai peur. » est-ce qu'elle venait réellement de dire ça ? « Non, j'veux dire : je.. si, c'est ce que je voulais dire. » cette robe étouffante et le manque d'air frais de cette voiture lui donner mal au crâne, elle fait de l'air avec ses doigts, les yeux river dans ceux de son partenaire. Soit pas une chochotte Rhodes.
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Loukas S. Cohen


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MessageSujet: Re: bermude. (loukas)   bermude. (loukas) I_icon_minitimeMar 26 Juil - 14:58


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Vous étiez bien tous les deux, complètement déguisés, paumés ne plein milieu du hall en vous demandant sérieusement ce que vous étiez censé faire. Au fond, vous ressembliez à deux gosses déguisés pour la messe du dimanche, sans même songer à ce que ça pouvait bien vouloir dire. Sauf que cette fois, il ne s’agissait pas de faire croire à quelques familles que vous étiez de beaux héritiers mais bien à toute une horde de journalistes, qui attendaient comme des vampires derrière la porte. Vous étiez là, sérieusement à vous demander ce que vous y faisiez, et sans doute aussi paumé l’un que l’autre. D’habitude t’aimais bien les costumes, ça te donnait l’impression d’être plus sûr de toi, plus imposant. Mais celui là avait quelque chose de dérangeant dans l’aspect trop pseudo séducteur qu’il te donnait, et qui était à mille lieu de ce que tu étais vraiment. En vérité, dans ces affaires là, t’étais plus discret. Dans la réalité, t’aurais sans doute jamais exposé ta copine de la sorte, c’était pourquoi t’avais du mal à croire que les journalistes croiraient à toute cette histoire. Mais les journalistes croyaient ce qu’on leur donnait, prêt à tout pour écrire leur article pourri. Leur daube vendue quatre euros, pour délibérer la moindre connerie. Est-ce que des gens s’intéressait sérieusement à ta vie au point d’en acheter un magazine ? En vue des bruits provenant de l’extérieur, il fallait croire que oui. Tu pris une inspiration en tournant la tête vers elle lorsqu’elle lâchait ta main, et tu lèves un sourcil. « Est-ce que ça existe, ça, du parfum à cheveux ? » T’étais toujours un peu pus surpris de constater à quel point les gens étaient capable d’inventer la pire des choses pour faire de l’argent, et à quel point ça pouvait fonctionner. Il fallait d’ailleurs que tu arrêtes de t’en étonner, car tu finirais bien par rentrer à ton tour dans le buisness, et que les choses seraient loin d’être roses. Tu serrais les dents rien qu’en imaginant cet imbécile d’homme de main en train de discuter d’un air satisfait avec le père de Reese. Mais il fallait que tu te contrôle, toi et ta rage, tu ne devais pas faire de faux pas ce soir. « Les journalistes sont stupides. » Tu fais sans la regarder, avec encore quelques traces de colère dans la voix. Evidement que tu es en colère, tu ne maitrises rien, tu suis les règles, tu n’es qu’un pion et tu ne supporte pas ça. Mais tu ne peux rien faire. Reese aussi semble en colère, et sur le coup, tu ne peux que la comprendre. Pourquoi vous ? Cependant, la voix de la jeune femme semble changer sur le coup et tu tournes alors les yeux vers elle, prenant une petite inspiration. Tu constates à quel point ce qu’elle dit peut s’appliquer à vos deux personnes. Vous êtes comme ça, l’air de rien, vous avez un point commun. Vous êtes tous les deux des tempêtes. Et sur le coup, étrangement, ça te rassurerait presque. Vous savoir tous les deux prêts à exploser te donne une impression de partage de la même rage, des mêmes démons. Peut-être qu’au fond, elle peut comprendre ce que tu ressens. Ce que personne n’a jamais tellement compris avant. Tu prends alors une inspiration en passant une main dans ses cheveux trop bien coiffés, finissant par hocher la tête. « Qu’ils le veuillent ou non, nous sommes des tempêtes, des cyclones même. Le tout est de leur faire croire qu’on est rien du tout ce soir. » Rien que des enfants dociles, ceux dont ils ont toujours rêvés. Mais sur le coup tu te calmes un peu, non pas parce que tu prends conscience de tout ça, mais parce que tu tâches de te maitriser, et que tu sais qu’elle fait de même. Alors tu lui offres ton bras lorsque tu entends la voiture arriver et tu viens lui ouvrir la porte, comme un gentleman le devrait. Un nouveau sourire prend place sur tes lèvres lorsque vous arrivez à l’extérieur et que des flashs vous brûlent un peu les yeux. Tu lui ouvres rapidement la portière pour qu’elle y grimpe avant de prendre place à coté d’elle. Et là, c’est le silence. Plus un bruit, le chauffeur qui ferme votre compartiment et toi qui souffle un peu. Mais ça n’y change rien, c’est le silence. Peut-être que vous ne savez plus trop quoi dire. Et lorsque la voiture ralentit pour se garer, tu la sens glisser ses mains autour de ton épaule et tu vas pour reprendre ton faux sourire avant de finalement te rendre compte de ce qu’elle vient de te dire. Alors tu tournes la tête vers elle, inspirant. « Je sais. » Tu fais sur le coup, en mordillant ta lèvre. « Moi aussi. » Tu ne peux t’empêcher de t’avouer. Tu as peur de faire une connerie ou d’en dire une, de ne pas paraitre crédible, tu as peur que toute cette histoire vous retombe dessus. Ce n’est pas comme une partie de poker, c’est plus difficile encore, il ne s’agit pas seulement de bluffer, mais de devenir quelqu’un d’autre. Tu hausses alors un peu les épaules. « Je suis de ton coté, d’accord. » Tu fais presque étonnement en la regardant dans les yeux. « Il faut qu’on s’entraide sur ce coup là, on s’en sortira jamais sinon. » Puis tu inspires, et tu lui arranges une mèches de cheveux qui rebique, il faut que la petite princesse soit parfaite. « Tu es prête ? » Tu hoches la tête en prenant sa main avant de sortir, tandis que vous marchiez vers le restaurant, t’avais l’impression de presque manquer d’air.
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